Nom d'un rhino !

Le rhinocéros s'invite dans le monde des médias. Quel rapport me direz-vous ? La proximité entre les deux est ténue mais, en cherchant un peu, on la trouve.

Avant tout, le rhinocéros est mon animal totem. Un animal pour lequel je voue une passion égale à celle que j'ai pour le monde des médias. Le rhinocéros est un animal qui fonce – sa vitesse peut atteindre 50km/h – tout comme j'ai envie de foncer sur l'info médias pour vous la partager. L'idée d'animal totem se retrouvera par ailleurs au travers des interviews publiées sur ce blog. Si l'on peut sensibiliser tout en faisant ce qui nous plaît, pourquoi se priver ?

Car le rhinocéros est un animal en grand danger. On estime à près de 4 le nombre de spécimens victimes du braconnage chaque jour. Les médias ne sont pas en reste, la profusion de ceux-ci et l'évolution des technologies les poussent parfois à mettre la clé sous la porte lorsque l'audience ne suis plus. Ou, quand ils le peuvent, à s'adapter aux changements de leur environnement. Comme le rhinocéros l'a fait au cours des dizaines de millions d'années de son évolution.

Le rhinocéros n'a pas de différenciation dans son nom quelque soit son sexe ou son âge. Il n'a pas non plus de couleur variable en fonction des espèces – et ce malgré la croyance naît d'une erreur de traduction. Le rhinocéros est neutre, n'est-ce pas ce que doit être un.e journaliste ?

Le rapport avec les médias se dévoile un petit peu plus. Il reste un point pour finir de les lier. Le rhinocéros est un animal mythique qui a éveillé tous les fantasmes des scientifiques à l'époque de sa découverte. Tout comme le monde des médias fait aujourd'hui rêver nombre de personnes. Ne cherchez plus la licorne, vous l'avez sous vos yeux.

Que de raisons qui m'ont amenées à lier le rhinocéros aux médias et aux arts. Jusqu'à la date de lancement, le 22 janvier, qui correspond à la première française de la pièce Rhinocéros d'Eugène Ionesco, en 1960.